Commençons par une mise au point : par transports en commun nous parlons bien sûr des transports publics ferroviaires ou busoviaires routiers qui assurent la transhumance bi-quotidienne des masses laborieuses de leur foyer doux foyer vers le lieu honni de l’oppression par la finance internationale dissimulée sous un quelconque avatar et vice versa. Nous n’évoquerons pas non plus les transports amoureux « communautaires » pratiqué par une frange de la population à laquelle n’appartient pas la rédaction de ce blog. Contrairement à une l’idée fort répandue disant que les transports en commun c’est un avant-goût de l’enfer, je dirais que prendre sa